Vigne
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Le terminus des amateurs de vin
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Publié le 23/05/2021 | par Cécile Hans
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Michel Seidel dans sa cave : « Si tout le monde faisait comme moi, les vignerons ne seraient pas en difficulté ».
Cécile Hans
Rien ne prédisposait Michel Seidel à devenir un grand connaisseur en vin. Le coup de foudre a pourtant lieu à la fin des années 70, déclenché par un pinot gris grains nobles 1964 de chez Schlumberger. À partir de ce moment-là, il se cotise avec un ami pour acheter tous les mois une bouteille à 200 francs (l’équivalent de 30 €). « Plus on goûte, plus on devient exigeant et on recherche la perfection », reconnaît le chef. Qui tempère aussitôt : « Le prix ne fait pas tout.