Cultures
Stratégie
« Nous cherchons à désherber le maïs en trois passages »
Stratégie
Publié le 28/05/2016 | par Christophe Reibel
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Philippe et Thibaut Diemer dans leurs maïs semés entre le 17 avril et le 3 mai. Il faut bien deux à trois jours de ressuyage à leurs parcelles avant d’envisager le passage de la bineuse.
Germain Schmitt
Le maïs grain non irrigué occupe un peu plus de la moitié de l’exploitation de Thibaut Diemer. Il sème généralement des variétés cornées et dentées d’indice 350 à 390 dans des terres aux caractéristiques variées : limono-argileuses comme sableuses. Comme Philippe, son père, il pratique une rotation théorique sur quatre ans maïs-maïs-blé-betterave. Concrètement, le choix de réserver les plus grandes parcelles à la betterave peut l’amener à remettre trois années de suite du maïs au même endroit. Au contraire des légumes, la pomme de terre s’insère dans ce schéma.