Cultures

Navet salé

Moderniser l’image du légume de grand-mère

Publié le 18/01/2018

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Les trois derniers transformateurs de navet salé veulent poursuivre une production ancestrale.
Fabien Nouvène

Dix producteurs et trois transformateurs résistent encore et toujours à la disparition du navet salé. « Après des années de chute, la consommation s’est stabilisée ces dernières années à 350 tonnes par an », se réjouit Pascal Claude, de la choucrouterie éponyme, en marge de la journée de promotion organisée mardi 9 janvier à Geispolsheim. Car si ce légume a longtemps pâti d’une image vieillotte, les professionnels ont changé la donne.

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