Vigne

Stratégie

Arrêter d’exploiter sans regret

Publié le 14/02/2019 | par Christophe Reibel

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<p>Daniel Jung : « L’offre est large parce que je souhaite garder la spécificité de chaque millésime. »</p>
Julien kauffmann

« La viticulture est un métier dans lequel je me suis accompli. J’ai eu la satisfaction d’exercer une activité globale. Elle m’a procuré du plaisir. C’est bien plus important que l’argent que j’en ai retiré pour vivre ». Daniel Jung aurait pu ne jamais embrasser une carrière viticole. Au début des années 1980, il occupe un poste de gestionnaire et de commercial chez un négociant en vins. Mais en 1995, il décide de succéder à son père, Jules, sur une surface à peine moins importante qu’aujourd’hui. « C’était un choix d’indépendance, pas financier.

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