Publié le 25/06/2017
À chaque année, son accident de parcours. Pour cette campagne, ce ne sont pas les maladies, où les excès de précipitations qui ont joué avec les nerfs des agriculteurs, mais plutôt des difficultés de valorisation des apports d’azote en l’absence de précipitations. Au final, les blés ont bien récupéré. Et, s’il y a perte de rendement, elle sera imputable au remplissage des grains, en cours d’élaboration.
Depuis que les blés sont semés, la météorologie s’est caractérisée par un déficit de températures en hiver et un déficit de précipitations en hiver et au début du printemps. En effet, avec des températures moyennes dépassant péniblement 0 °C en décembre et en janvier, les blés n’ont que peu...