Cultures

Sorgho

Un fourrage intéressant pour qui s’en donne la peine

Publié le 25/01/2017 | par Bérengère de Butler

phrasea_51523.jpg

Le sorgho se sème plus tard que le maïs dans un sol plus chaud. En Alsace, pour le récolter avant le gel, on utilise des variétés précoces. Il a besoin d'eau au démarrage puis, avec 1 l, fait plus de tonnage qu'un maïs ou un ray-grass.

Traditionnellement cultivé dans le Ried, parce qu’il se sème plus tard que le maïs, et qu’il est donc moins soumis aux risques d’inondations, le sorgho s’est développé en Alsace suite à l’installation de la chrysomèle des racines du maïs et l’obligation de rotation qui en a découlé. « La Chambre d'agriculture d’Alsace a commencé à mener des essais sur le sorgho en 2004, avec une difficulté principale : l’absence d’équation pour calculer la valeur énergétique de ce fourrage », indique Laurent Fritzinger, conseiller agricole à la Chambre d'agriculture d’Alsace.

Cet article est réservé aux abonnés

Vous êtes abonné au journal, mais vous n'avez pas de compte web ?

Demandez votre code d'accès sur cette page pour lire la suite de l'article

je suis déjà abonné

je souhaite m'abonner

Abonnez-vous à notre journal, et bénéficiez de l'accès complet aux contenus de notre site.

Les vidéos