Publié le 05/03/2017
À Ergersheim, Catherine, Romain et Carole Koestel ont dû s’improviser décideurs du jour au lendemain. Aucun choix n’est fait sans qu’il n’y ait d’unanimité entre eux.
Catherine Koestel aurait bien aimé ne jamais devenir chef d’exploitation. Elle l’est pourtant depuis 2016. La disparition brutale de Jean-Claude, son mari, en juillet de l’an passé, l’y a poussée. Mais ce choc n’a pas été un coup d’arrêt. « Jean-Claude déléguait peu. Nous nous sommes débrouillés...